Alphonse Bisaillon, c’est la fougue d’un Charlebois et la gaminerie d’un Boris Vian. C’est le perfectionnisme maladif et la sensibilité secrète d’un Gainsbourg, l’humilité d’un Bill Evans. C’est un projet de chanson, qui doit beaucoup à Aznavour, mais aussi un projet de musique progressive, qui nous amène dans tous les sens.